Ignacio Almudévar est le représentant des entrepreneurs des polygones industrielles de Huesca et aussi depuis la mi-2015, il est aussi le président de la Fédération des Polygones Entrepreneuriaux d’Aragón (FEPEA), une entité appartenant aux polygones industriels les plus importants de la Communauté d’Aragón, comme Pla-Za ou Asempaz de Teruel. La formation, la responsabilité corporative des entreprises, la situation réelle des polygones aragonaises et la planification politique de ceux, sont quelques-unes des questions sur lesquelles Almudévar a répondu des lecteurs du « Diario del Altoaragón ».

Antonio, de Huesca, demande :

Pouvez-vous me dire quelle relation existe, dans le cas échéant, entre l’entreprise et l’éducation ?

Pour moi, il est essentiel que dans les programmes d’éducation, les sujets liés au monde du travail, à l’entreprise et à la responsabilité sociale soient envisagés. Il ne faut pas oublier que le 80% de ces étudiants travaillent dans une PME.

À l’heure actuelle, ils existent plusieurs lignes de collaboration : les stagiaires, les partenariats de recherche, etc. Mais encore, ma perception est qu’il y a un énorme fossé entre l’éducation, le milieu universitaire et l’entreprise. Le cadre stratégique de l’éducation devrait être aligné avec l’évolution des besoins requis par le monde du travail. C’est fondamental l’éducation des entreprises et du travail depuis la base, une bonne formation et un monde universitaire qui « tape » l’entreprise.

Huesca, comme capitale, est une ville principalement de services. Sur ce point de vue, quels secteurs pensez-vous devraient mener la reprise économique de Huesca et la région de l’Alto Aragón ?

Un secteur stratégique dans notre province est l’agriculture et l’élevage. Il est un secteur en croissance et modernisation sans cesse parce qu’il a le défi de nourrir la population mondiale, en augmentant un 70% sa production jusqu’en 2050. À Huesca capitale, il y a environ 31 entreprises impliquées dans ce secteur-là, employant plus de 400 personnes et attendant un chiffre d’affaires d’environ 200 millions d’euros. Le sujet en suspens est l’industrie de transformation de ces produits agro-éleveurs. Actuellement, la valeur ajoutée de cette transformation appartient à d’autres provinces. Pour être en mesure de mettre en œuvre l’industrie alimentaire est essentielle équilibrer les productions et donc, il est essentiel d’assurer l’approvisionnement en eau. C’est une irresponsabilité que l’eau de nos Pyrénées, dans nombreuses occasions, repars directement sur la mer.

Un autre des secteurs de référence est le tourisme, auquel est donnée une poussée spéciale dès l’administration. Dans notre province, on fait un bon travail, même qu’il ne faut pas oublier que nous sommes dans un monde globalisé où nous faisons connaître et développer des stratégies compatibles avec le tourisme durable.

Notre province est unique du nord au sud et le potentiel de développement est infini.

Mari Carmen, de Huesca, demande:

Jusqu’à quel point pensez-vous que les entreprises connaissent la Responsabilité Sociale Corporative ? Dans quelle mesure elles prennent des actions engagées à cet égard ?

Il y a dix ans, parler de la responsabilité sociale n’été pas fréquent ; tout était des discours pas imaginés comme applicables. Il est aussi vrai que la crise n’a pas été un bon allié pour sa mise en œuvre ; mais il était le meilleur « leçon » de savoir qu’une économie durable passe par l’application des critères de la RSC. Une définition que je partage sur la Responsabilité Sociale Corporative est: « En plus du strict respect des obligations légales existantes, l’intégration volontaire par la société, dans sa gouvernance et sa gestion, dans sa stratégie, politiques et procédures, dans les préoccupations sociales, du travail, de l’environnement et du respect des droits de l’homme qui découlent de la relation et du dialogue transparent avec ses groupes d’intérêt, en prenant ainsi la responsabilité des conséquences et des impacts qui découlent de ses actions « .

En 2005, la Commission Européenne a lancé un forum d’échange d’idées et d’expériences conçu pour aider aux PME à intégrer la RSC. Dans l’année 2009, les gouvernements ont déjà établi des lignes directrices pour la promotion de la politique stratégique de la RSE et promeut des lignes d’action ; il est dès lors qu’il a été connu en tant que partie intégrante des modèles de gestion. Actuellement, en Espagne, il est la Stratégie Espagnole de Responsabilité sociale des entreprises (2014-2020) celle que prévoit que les entreprises opèrent dans un cadre responsable. Parce que les entreprises en tant qu’agents sociaux qu’elles sont, elles jouent donc un rôle très important dans le développement de la société dans laquelle elles opèrent. La capacité de croître, de créer des emplois et de générer des entreprises, dépend de la qualité de ses modèles de gestion et de la participation des parties prenantes.

Nous devons viser à promouvoir des actions qui favorisent l’intégration et la normalisation des personnes handicapées, celles avec aussi tant de capacités à nous offrir.

Actuellement dans la FEPEA, on travaille sur un projet européen de polygones socialement responsables.

L’avenir de toute entreprise passe par l’application de politiques responsables environnemental, économique et socialement.

Alejandro, de Huesca, demande :

Pourquoi devons tous nous payer maintenant les « dégâts » de Plus ?

Je ne peux pas justifier l’injustifiable. Dans la sphère publique, la gestion durable des ressources doit être une priorité sur les décisions politiques. Les conséquences d’une mauvaise gestion ou le manque de planification sont payés par les citoyens. Maintenant, il faut promouvoir et encourager le développement des entreprises afin de que ce « mal cassé » soit le plus léger possible.

Sont-ils les polygones aragonaises adaptés aux nouveaux besoins du XXIème siècle ?

En Aragon, il y a 348 polygones ; d’entre eux, 195 à Saragosse, 88 à Teruel et 65 à Huesca. Ils occupent l’équivalent de 11.000 terrains de football. Le 43% de cette zone est libre, donc, presque le double d’espace pour l’activité économique est garanti.

Le panorama est très diversifié. Au fil des ans, on a couvert les besoins basiques pour le développement des activités sur eux ; et dans beaucoup d’entre eux, on travaille déjà dans les services publics qui contribuent à un environnement de travail idéal.

Aujourd’hui, on s’efforce pour transformer ces espaces dans un paradigme de coopération afin de promouvoir les synergies, de bénéficier la création d’emplois et de richesse et donc, le refléter dans les villes et en fin dans la société.

Les polygones les plus anciens n’ont pas des caractéristiques urbaines en fonction du courant.

L’une de nos principales faiblesses pour aborder ce siècle, est le manque de connectivité. La plupart des polygones, n’a pas de fibre optique. Dans le monde de l’économie interconnecté, il nous fait être en désavantage.

Ce sujet a été déclaré par notre Fédération comme une priorité.

Santiago, de Huesca, demande:

À votre avis, quels pensez-vous sont les secteurs stratégiques de l’industrie en Aragón et qu’est-ce que les politiciens peuvent faire pour soutenir ces secteurs ? Merci beaucoup.

Les secteurs stratégiques en Aragon, dans le plan industriel actuel sont : l’agroalimentaire, l’énergie, l’industrie de l’automobile, la logistique, le tourisme et les nouvelles technologies.

L’industrie alimentaire est le deuxième secteur manufacturier d’Aragón, après celui de l’automobile, et fournit d’emploi direct à un total de 10.500 personnes.

Le secteur de l’énergie présent une participation d’environ 5% du PIB aragonais, ce qui représente environ d’un quart de la production industrielle régionale. Aragón est une communauté distinguée pour avoir de ressources locales abondantes pour la production d’électricité.

L’industrie automobile a une importance quantitative et qualitative très considérable dans l’économie aragonaise. En plus de l’assemblage automobilistique et du développement des composants, il convient de noter la présence en Aragón des entreprises leaders dans la fabrication de carrosseries, de remorques et semi-remorques et des équipements ferroviaires.

Les plates-formes logistiques occupent une grande surface de notre territoire. La logistique s’est consolidé dans les économies avancées comme un levier clé pour les progrès des flux commerciaux et du développement des entreprises à niveau régional.

Le tourisme représente environ 10% du PIB d’Aragón et rassemble une partie importante de l’entreprise ; plus de 8000 entreprises sont liées à cette activité. Seulement dans le secteur hôtelier (hébergement et restauration), ils sont occupés près de 70.000 personnes.

Le domaine des nouvelles technologies (TIC) représente le 2,3% du PIB communautaire et fournis d’emplois à plus de 9000 personnes à partir d’un sondage auprès de près de 1000 entreprises. Dans ce domaine, Walqa, doit occuper un rôle important pour sa dynamisation.

Enfin, il faut noter l’existence de certaines technologies, plus ou moins naissants, avec un potentiel de croissance évident. On repart des exceptionnelles centres de I + D avec une remarquable expérience, tels que la biotechnologie, les nouvelles technologies de l’énergie ou de matériaux avancés (nanotechnologie).

Les orientations politiques sur les questions industrielles en Aragón devraient aborder des initiatives d’internationalisation, la simplification des procédures administratives, le soutien aux entrepreneurs, la formation et aide à la recherche, le soutien à l’investissement dans la productivité, et la connexion universitaire entre l’offre et la demande industrielle.

Rosa, de Huesca, demande :

Si, en place d’avoir plusieurs polygones pour une petite ville comme Huesca (PLHUS, Sepes, Monzú…) et d’autres dans des villes voisines (Almudévar, Ayerbe…), aurait un seul polygone. Pensez-vous que ce serait plus facile et moins coûteux de fournir des services en tant que le transport, l’éclairage, le drainage ou la surveillance ? Merci.

Nous devons respecter les petites villes qu’ont voulu créer d’emplois par l’implantation des polygones d’affaires. Le temps a montré qu’ils n’ont pas été durables. À Huesca, on a la chance que la Magantina, le Monzù et le Sepes sont déjà attachés physiquement ; ce qui nous permet d’optimiser les services. C’est vrai que tandis qu’il existe une plus grande activité existe dans un polygone, il devient plus facile et faisable économique et socialement la mise en œuvre d’un service.

Piedad, de Huesca, demande :

Quel est le principal problème souffert par les polygones de la ville ?

Sans aucun doute, le plus gros problème sont les inondations, qu’on causé tant de dommages et tant longe et attendue est sa résolution.

Ce n’est pas bon pour notre ville ; être nouvelle dans les médias nationaux en raison de ce problème.

En ce qui concerne le manque de fibre optique, nous sommes très optimistes à sa prochaine résolution dans la capitale de Huesca.

Ricardo, de Huesca, demande :

Voyez-vous près de résoudre le problème des réseaux d’égouts, en plus d’améliorer la chaussée des polygones « oscenses » ?

Je voulais dire oui, mais la perception est que cela va être un long processus et on va encore continuer à en subir les conséquences. Personnellement, c’est l’une des questions que plus me fait mal et la plus difficile à supporter. Comme le trottoir, on est en train de fairedes améliorations dans les possibilités de la mairie avec les priorités qui marque la Fédération.

Esther, de Huesca, demande :

Quel genre de sociétés dominent dans les polygones de Huesca ? Sont-elles concentrées par zones ? Existe-t-il un secteur qui se démarque ?

Le Polygone Martinez de Velasco, d’ailleurs, entièrement rénové, est un point de concentration des entreprises automobiles. Le polygone La Magantina, est le plus commercial et le Monzù et Sepes sont où se sont développés le plus large éventail d’activités ; dès l’industrie à le sport.

Je voudrais souligner le secteur automobile (vente, atelier et pièces de rechange) et toutes les entreprises liées à l’agriculture et l’élevage.

Ils existent de nombreuses entreprises avec une bonne expérience nationale et internationale dans nos domaines, mêmes qu’elles ne soient pas suffisamment connues ou reconnues par la société de « oscense ».

Paco, de Huesca, demande :

Existe-t-il des études de PME installés dans les polygones à Huesca ? Je veux dire, au nombre d’employés, au chiffre d’affaires. Ou, est-ce que vous ne contrôlez pas ces aspects ?

Il n’y a aucun compte rendu officiel par lequel on peut connaître le nombre de sociétés établies dans chaque polygone. C’est une demande de la FEPEA à l’administration régionale ; tout aussi comme il y a d’autres dossiers.

Notre estimation dans la ville de Huesca, est que dans les quatre polygones existent environ de 450 entreprises employant plus de 5000 personnes.

Andrés, de Jaca, demande :

En raison de la crise, de laquelle on n’a pas encore sorti, avez-vous beaucoup remarqué une diminution de l’activité dans les polygones ? Avez-vous dû fermer de nombreuses entreprises ?

Ce que nous vivons maintenant sont des conséquences de la crise. Quand il semblait que tout allait bien, quelques-uns étaient conscients que c’était une chose pas durable. Il y avait une absence de principes et de valeurs éthiques qui nous ont amené à croire que « la bulle immobilière et financière » était un succès économique et politique. Maintenant, c’est quand on doit mettre en place les bases d’une croissance durable, dont joue une rôle clé dans pour la culture des entreprises. Cette bulle, est aussi venu aux bâtiments industriels, qui ont fait l’objet de spéculations.

Les polygones à Huesca ont pris nombreuses d’années à se développer, ce qui explique pourquoi ils ont noté en moindre mesure la crise. Les polygones qui ont émergé au cours de la « bulle » ont souffert des pires conséquences, comme Empresarium, qui des 1150 ateliers a 800 vides ; certains d’entre eux sont même utilisés comme des logements.

À Huesca, on a vu affectées toutes les entreprises du monde de la construction ; et ses filiales, et presque tous ont vécu des difficultés et des restructurations. Heureusement dans les polygones de Huesca, il y a une activité importante ; par contre, on est encore loin d’atteindre le niveau qu’il devrait avoir en tant que capitale de la province.

Mayte, de Barbastro, demande :

Quel polygone dans la province a augmenté au cours des dernières années ?

Je suis heureux de dire qu’à Barbastro il y a une bonne culture d’affaire commerciale et d’un bon tissu d’associations. De mon point de vue, les polygones qui ont eu une plus grande croissance ont été celui de El Sasal de Binefar et le Sepes à Huesca. A noter également que les anciens polygones à Fraga, sont presque à pleine occupation et ont un grand potentiel pour l’expansion de la plate-forme logistique, actuellement presque vide. Là-bas, il joue un rôle important l’influence de la Catalogne.

Oscar, de Huesca, demande :

Y at-il un secteur qui se dresse actuellement ou qui soit dans une meilleure position pour la croissance et l’expansion que d’autres ?

Comme je l’ai dit plus tôt, dans notre province, sans oublier aucun secteur, le potentiel de croissance pourrait être dans l’industrie alimentaire et le tourisme.

Marcos, d’Ejea, demande :

En tant que président de la Fédération des Polygones d’Aragón, quelles tâches jouez-vous ?

Les performances, comme malheureusement sont habituelles, se concentrent-elles sur la capitale aragonaise ou agissent également dans tous les endroits ?

J’ai la responsabilité de diriger et de représenter la Fédération et la bien mener pour obtenir le maximum de buts marqués. Je préside toutes les réunions et les conseils d’administration, et je suis l’interlocuteur majeur auprès des différentes administrations et d’autres entités. La vision de la Fédération est attachée à un modèle d’affaires basé sur la territorialité et la proximité. Sa mission est de chercher des solutions à des problèmes communs tels que la mobilité, la durabilité, la sécurité et la soutenance. La Fédération a créé quatre domaines de travail intégrés par diverses associations : communication, télécommunication, mobilité, etc.…, afin de stimuler et diversifier les tâches.

Pour moi, les 348 polygones d’Aragon, sont égaux ; l’union précisément, est ce qui nous donne de la force.

Plus précisément, le problème des microcoupures d’électricité à Ejea, est maintenant défendu comme une priorité de la Fédération.

Luis, de Huesca, demande :

Qui intègrent et quels services apporte la Fédération des Polygones d’Aragón ?

A FEPEA appartiennent les polygones industriels de PLAZA, Centrovía, AEPPI (Malpica- La Puebla de Alfindén), AIC (Cuarte, Cadrete, Maria et Muel), AIRBE (Ribera Baja del Ebro), Empresarium, AECV (Les Polygones des Cinq Villes), la Fédération des Polygones Industriels de Huesca, La Paz de Teruel et Les Horcas d’Alcañiz, entre autres, représentant ainsi plus de 10.000 entreprises. Bientôt va être incorporé le polygone « Ciudad del Transporte ». Nous sommes sous la protection de CEPYME ARAGÓN.

Tous les représentants jouons notre tâche de façon désintéressée et les services arrangés vont alignés à la recherche de solutions à des problèmes communs dans une mesure plus ou moins grande, rejoignant les efforts pour une plus grand et meilleure réponse.

Esther, de Saragosse, demande :

Quels avantages ou des avantages sont associés à cette Fédération ?

D’abord, le fait de s’associer pour obtenir des avantages communs, est un acte de responsabilité sociale. La mise en commun des bonnes et mauvaises expériences développées dans assemblées, nous servent à toutes les organisations membres. La Fédération est un organisme représentatif, qui, jour à jour, va à avoir plus de force et d’expérience. Aujourd’hui, n’est pas une obligation légale d’être associé, mais pour moi, c’est une obligation morale.

Susana, de Binéfar, demande :

Généralement, sont les polygones renouvelés avec l’arrivée de nouvelles entreprises ou on voit mourir les entreprises sans aucun soulagement ?

Toutes les circonstances sont en place : la disparition pour des raisons économiques, pour le manque de vision et d’adaptation, pour le manque de changement de génération. Il est également fréquent de voir l’expansion de celles qui existent déjà ; et aussi, en moindre mesure, est moins vu la figure de l’entrepreneur et l’émergence de nouvelles entreprises. Toutefois, en fonction de l’âge de chaque polygone, les unes ou les autres circunstances sont générés.

Alfonso, de Monzón, demande :

Toute entreprise, soit le secteur qu’il soit, peut-on se permettre de vivre dos à la technologie ? Considérez-vous essentiel d’avoir un site web ?

Indudablemente, on ne peut pas vivre dos aux technologies. Dans tous les domaines de notre vie, chaque jour elle y est plus présente. Dans le milieu du travail, les entreprises qui veulent exister, doivent être alignés à la technologie ; en travailler de retour signifie d’aller contre la productivité et la compétitivité.

Aujourd’hui, le site web est la lettre présentation des entreprises. A travers d’elle, nous nous ouvrons au monde globalisé. C’est la formule la plus simple de se communiquer avec les clients à un coût minime.

Marta, de Huesca, demande :

Quelle relation maintenez-vous avec le gouvernement régional et le gouvernement municipal ?

Par rapport aux équipes précédentes, quelque chose a changé la situation ?

Étant donné que la façon de travail et de réponse du secteur privé, on est très loin d’être de celui public ; dès mon poste de président de FEPEA, la relation avec le gouvernement régional est correcte.

Là, où il existe maintenant un ralentissement dans la relation entre les représentants des polygones « oscenses » avec la mairie. Il y a 4 mois qu’on a demandé à se rencontrer avec le M. le maire et on n’a pas reçu de réponse. Je me sens très bien que M. le maire a comme de référentes Walqa et PLHUS, mais à ce moment, la Fédération des Polygones, sont l’un des groupes les plus importants de cette ville.

Depuis notre fondation, la relation, le travail et les résultats avec les différentes équipes gouvernementales a été satisfaisante. Nous restons encore à sa disposition pour aider à l’avancement de notre ville.

Jesús, de Huesca, demande :

Quels sont les principaux problèmes auxquels sont confrontés les membres du groupe que vous représentez ?

D’abord, nous sommes des associations avec des moyens et des ressources assez limitées. Les gens qui participent, on le fait volontairement et d’une façon altruiste. Dans la plupart des cas, par vocation de service ; nous devons prendre du temps loin de notre travail et notre vie privé pour remplir cette mission.

Ana, de Gurrea, demande :

Y at-il suffisamment d’aides reçues pour installer de nouvelles entreprises ou sont-t-ils des barrières économiques un obstacle ?

La création d’une entreprise a été toujours caractérisée par de nombreuses difficultés administratives, législatives, bureaucratiques …, en plus de la difficulté qu’une entreprise a pour se financer quand elle n’a pas encore des ressources. Il ne faut qu’encourager l’installation de nouvelles entreprises, mais de travailler pour le soutien de celles qui existent déjà ; aussi tant important de naitre comme de subsister, puisque l’adaptation et l’innovation est quotidienne. La réalité nous dit que 47% des entreprises meurent avant qu’ils ne deviennent qu’4 ans depuis son démarrage.

Bien que les plans stratégiques d’affaires actuel des d’Aragón soient visés comme des outils pour le soutien de nouvelles initiatives, l’expansion des secteurs d’activité et l’intégration des secteurs émergents, je crois qu’ils ne seront jamais les suffisants et la sensation du monde des affaires est « d’être convaincu qu’il n’aura pas de nombreux obstacles ».

Publication le Lundi 19/10/15